dieux nous a offert une dualshock avec des gachette grâce a celle ci on peut doser la puissance dans les virages
C'est simple, quand tu conduit il ne faut jamais faire 2 choses a 100% (d'ailleurs on peut pas ^^),c'est soit tu freîne, soit tu tourne ,évitez les 2 en même temps c'est la base après l'appliqué sur gta c'est autre chose ce n'est pas GT
Aujourd'hui à la rédaction, on est tous excités car pour la première fois dans notre magasine on va essayer la dernière Invetero. En effet lors du North American International Auto show Invetero, qui est une filiale de Declasse, nous présente pour les 60 ans de Invetero la nouvelle Coquette C7 Stingray. Cette nouvelle génération de la sportive américaine va faire la chasse au Vapid Bullet et autre Bravado Banshee.
Essai
Pour cet essai il me fallait être digne de ce mythe. J'ai donc enfilé mon nouveau smoking, pour pouvoir mettre les mains sur la Coquette. Il fallu que je me rendre sur le parking du casino, pour cela je pris mon téléphone et j'appelais aussitôt Downton Cab and Co pour me rendre sur les lieux.
Arrivé sur les lieux j'étais ébloui par cette peinture rouge qui caractérise cette septième génération. Il était temps de s'attaquer au design extérieur. La face avant était très expressive, avec son bouclier avant en forme de pointe et ses optiques taillés à la serpe. Le reste de la face avant était musclé avec les quatre prises d'aire et la lame présentent sur le bas du pare choc.
Le capot bombé montrait aussi une grosse cylindré qui n'est qu'autre le V8 6,2L de l'ancienne génération fonctionnant à arbre à cames central mais poussée à 450ch. Cette spécificité pourrait témoigner d’un manque d’évolution par rapport aux modèles précédents. Cependant, Invetero justifie ce choix de moteur culbuté par le fait que cela permet de garder un bloc compact et ainsi une ligne de capot toujours basse. La face arrière était toute aussi sportive avec le béquet, le gros diffuseur en carbone, les quatre sorties d'échappement et les feux arrières full led qui sont de toutes beautés.
Le profil quant à lui est très réussi avec les flancs galbés la ligne de fuite qui part des ouïes d'aire jusqu'au béquet arrière. De plus les touches de carbone présents sur les bas de caisses, les ouïes d'aire et les jantes font ressortir la robe rouge de cette sportive.
Maintenant il fallait passer aux choses sérieuses, la conduite. Premier démarrage, le son aigu du V8 résonna dans ma tête, je partis donc à la conquête de la Senora Freeway où les premières accélérations me collèrent dans mon fauteuil baquet. Pendant mon périple, la voiture était très convaincante avec des accélérations poussives et un freinage de haut niveau assuré par les quatre freins à disques.
En continuant mon voyage je décidais de faire une excursion vers Catfish View. En parcourant cette route j'ai pu assister à un changement de revêtement et là vous avez aucun soucis à vous faire les suspensions pilotées assurent un très bon maintient à la route. J'en profitais pour faire une pose photo sur ce magnifique spot offrant une vue imprenable sur le Cape Catfish.
La photo prise et je repartis vers la Great Ocean Highway. Sur cette portion d'autoroute j'ai pu constater que le moteur manque un peu de vigueur. Car oui à l'heure des mécaniques turbo compressées débordantes de couple et de réactivité, les voitures à grosse cylindrées manquent un peu de punch et nous offrent vraiment leur couple pendant les premières accélérations. Ces centaines de kilomètres parcourus me firent arriver à la réserve et je dû donc m’arrêter à la station service de Paleto Bay car oui la Coquette bien qu'agréable sur long trajet consomme tout de même 10 L/100 km. Mais cette consommation est pardonnée par le fait que cette voiture est un vrai régale à conduire.
Sans trop attendre je me sauvais dans l'objectif d'arpenter des routes sinueuses. Je fis donc mon choix pour Buen Vino Road mais avant cela un détour dégustation s’imposa au Vignoble de Marlowe. Après avoir bu un bon verre de vin, pas plus car sinon je peux pas finir l'essai , je fonçais sur les routes sinueuses.
Ces routes dévoilèrent une face caché de la sportive américaine qui est sa tenue de route. En effet il fallait vraiment le faire exprès pour que le bolide décroche de sa trajectoire. Cette prouesse pu s'effectuer grâce aux différents appendices aérodynamiques qui sont le toit ondulé, les ouies d'aire, la lame avant et le diffuseur d'aire qui permettent un très bon maintient au sol. La voiture collée au sol par le très bon châssis, couplée à une direction incisive et précise garanti un comportement routier plus que meilleur. Par la suite le temps se gâta,et la pluie ne tarda pas arriver, ce qui ne perturba pas en soit le comportement, on pouvait juste noter le train arrière qui pouvait sortir de sa trajectoire par coup de volant brusque et la direction qui peut se bloquer quand on freine et qu'on braque en même temps.
L'épisode pluvieux s'estompa rapidement et mon arrivée en ville s'accompagna par de franches éclaircies. Là encore la voiture se montrait facile à manier et à conduire. Cette faciliter déconcertante était surtout lié à un très bon freinage, une direction très souple, des suspensions réglées comme il faut et un très bon rayon de braquage pour des manœuvre facilitées en ville.
Mon voyage s'acheva par un arrêt dans un des hôtels prestigieux de la ville.
Conclusion
Aujourd'hui à l'heure de la mondialisation qui est de plus en plus présente beaucoup de voitures perdent leurs caractéristiques qui ont fait leur renommé. Mais cette mondialisation n'a que du bon pour cette Coquette qui s'exporte à travers le monde et qui continura à faire résonner son légendaire V8 encore longtemps. En outre la septième génération de Coquette montre que les américains savent faire des voitures très plaisantes à conduire et surtout très facile à maîtriser et qui peuvent très facilement rivaliser avec les sportives européennes.
+ -
Qualités dynamiques Intérieur un peu en dessous des
Facile à prendre en main européennes en terme de qualité
Prix abordable
Une gueule inimitable
Verdict : 18/20 La meilleure sportive en rapport qualités/prix.
Données constructeur : (Merci à Donki le gris pour m'avoir autoriser à utiliser les données de ses tableaux dont voici le lien https://www.gtanf.com/forums/index.php?showtopic=19302 )
C'est complétement HS, mais c'est une mauvaise utilisation du meme Keep Calm, en sachant que le Cake is a Lie (le gâteau est un mensonge), il est assez difficile de garder son calme, car au lieu de manger le gâteau, le joueur doit se donné la mort (bien qu'il s’échappe). Pour rappel, le Cake est la motivation pour que le cobaye (le joueur) fasse les tests demandé.
Après bon, il reste 10 jours, c'est pas la mer à boire. Respectez au moins le travail des développeurs qui se cassent le cul pour nous pondre un jeu que tout le monde attend avec impatience...