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The Warriors fête ses 20 ans !

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Au début des années 2000, Rockstar Games est propulsé au rang de maître en la matière pour ce qui est de construire des mondes ouverts révolutionnaires, notamment avec la saga Grand Theft Auto. À côté de ça, le label est force de proposition pour sortir des jeux matures sur le marché (Max Payne, Manhunt ou encore Red Dead Revolver), linéaires certes, mais conçus pour rivaliser avec le cinéma, faire évoluer le média et les mentalités. Le 7e art d'ailleurs, plus que jamais ancré dans la culture populaire, est une véritable bible pour s'inspirer ou trouver des histoires aux thèmes variés et surtout adaptés à un public bien spécifique.

Dans la liste des jeux proposés par le studio, un certain The Warriors se détache clairement des autres et met en avant un interminable rodéo de violence urbaine. Le jeu est directement inspiré du film du même nom (connu sous le titre Les Guerriers de la nuit dans les pays francophones), long-métrage réalisé par Walter Hill en 1979 en oeuvre culte pour les frères Houser.

 

En ce 17 octobre 2025, le titre célèbre en 20e anniversaire et nous donne donc l'occasion de replonger dans cet univers aussi marquant que controversé pour quiconque n'aurait pas la moindre envie de se salir les mains.

PREMIÈRE JEUNESSE

 

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D’où vient The Warriors ? Pour le savoir, il faut revenir dans les années 60. Durant cette décennie que l’on nomme également la période des « Sixties », le monde connaît un véritable bouleversement. En France comme aux Etats-Unis, c’est le temps des révolutions sur le plan linguistique, culturel (nouveaux goûts musicaux et styles vestimentaires), sexuel (avancée pour les droits des femmes, des homosexuels et des minorités), artistique (l'arrivée du Pop Art), scientifique (première greffe du cœur) et technologique (premier homme dans l'espace et lancement du projet Arpanet, ancêtre d'Internet).

Mais alors que la société de consommation s’installe, le monde devient de plus en plus dangereux. Crise de Cuba, Guerre froide, construction du mur de Berlin, assassinats de John Fitzgerald Kennedy et de Martin Luther King aux États-Unis sont autant d’événements témoins de la violence qui règne dans la société, et notamment dans la ville de New York qui connaît un effondrement global renversant l’économie et transformant les lieux en véritable apocalypse urbaine (héroïne dans les rues, criminalité grandissante, corruption de la police, grèves, délits en tout genre, contrôle de la mafia et des gangs dans les rues).

Dans ce contexte, inspiré par la réalité chaotique américaine, l’écrivain américain Sol Yurick publie pour la première fois en 1965 le roman The Warriors. Écrit en seulement trois semaines et basé sur l’ancienne histoire de l’Anabase (ou l'expédition des Dix-mille de Xénophon, une des plus célèbres œuvres de l'auteur grec Xénophon, composée au IVe siècle avant J.-C. laquelle raconte comment Xénophon est un groupe de mercenaires grecs tentent de s’échapper de Perse après la mort de Cyrus), le roman raconte lui comment un soir de 4 juillet à New-York (la date étant un clin d’œil au jour de l'Indépendance de 1776, la fête nationale américaine), un départ de violence adolescente s’abat sur la ville et voit s'affronter différents gangs et forces de l’ordre.

 

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Dans cette histoire, au milieu de ces affrontements, Ismaël Rivera, chef du gang le plus célèbre de New-York (les Dominators de Coney Island) convoque les différentes bandes au coeur du Bronx afin de lancer une trêve. Cependant, tout ne se passe pas comme prévu et Ismaël se fait assassiner, obligeant le reste de sa bande à fuir et tenter de se frayer un chemin jusqu’à son territoire natal. Issu de l’expérience de Yurick qui, en tant qu'enquêteur pour le département de la protection sociale de la ville de New York où il a rencontré des familles dont les enfants appartiennent à des gangs, a vécu un véritable choc social, l’œuvre est souvent considéré comme un western urbain qui analyse comment des adolescents faisant partie d’un gang, abandonnés par la société et livrés à eux-mêmes, tentent de devenir des « hommes » pour survivre.

En somme, l’aspect social de l’œuvre se concentre sur les divisions ethniques et territoriales des enfants de foyers modestes qui trouvent des familles de substitution au sein de la hiérarchie des gangs. Dans une interview à la radio WNYC de 1979, abordant la xénophobie et la territorialité explorée, Yurick déclare qu'en faisant des recherches sur ces gangs, il a découvert que « chaque dispositif que l'on trouve dans la diplomatie internationale, dans la stratégie militaire, est utilisé par les enfants ».

C'est ainsi que quelques années plus tard, à la fin des années 70, alors que l'on a définitivement basculé dans la période de l'ultra violence, la société de cinéma Paramount souhaite adapter rapidement et à moindre coût (seulement 4 millions de dollars) un film inspiré de cette jeunesse violente et défavorisée. Par chance, un réalisateur du nom de Walter Hill tombe sur le livre de Sol Yurick et souhaite l'adapter sur grand écran, en s'assurant que le contenu reste foncièrement le même. S'inspirant cette fois de la bataille des Thermopyles, le film se déroule toujours à New York mais le chef de gang le plus puissant de la ville, Cyrus, souhaite cette fois reprendre le contrôle de la ville. Cependant, un homme armé tire sur lui et fait accuser un membre du gang des « The Warriors », forcés de rejoindre tant bien que mal leur territoire de Coney Island.
 

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Malgré un tournage très compliqué dans les rues de New-York (nuits courtes, véritables gangs qui commettent des incivilités, menaces de mort sur les membres de la production), le film sort finalement le 9 février 1979 dans 670 cinémas et le bouche à oreille fonctionne. Cependant, les cinémas et la presse ne sont pas emballés. Et pour cause, plusieurs actes de violences sont déplorés ; un homme se fait tuer dans une rixe lors d'une séance du film, un affrontement a lieu entre deux bandes devant un cinéma et un autre meurtre à lieu à Palm Strings. Très vite, Paramount est tenu responsable de la situation et supprime toute publicité sur le film, allant jusqu’à changer les affiches en urgence et censurer les bandes-annonces.

Quelques années plus tard, avec la montée en flèche de la télévision et les locations de VHS, une véritable communauté se construit autour de cet univers dystopique, plaçant l’œuvre cinématographique de Walter Hill comme une référence dans l'histoire du cinéma et de la culture populaire, inspirant même des cinéastes comme Enzo Castellari et des films tels que Les Guerriers du Bronx, Outsiders, Violences sur la ville et New York 1997.

Bien que le film rapporte 22 millions de dollars et qu'il soit apprécié par des réalisateurs comme John Woo et Quentin Tarantino, Sol Yurick lui n’'apprécie pas l'adaptation de Walter Hill. En effet, celui-ci l'accuse d’avoir supprimé l’aspect racial en mettant en avant un protagoniste blanc, d’avoir choisi des personnages ayant une trentaine d’années et de se débarrasser d’une partie des considérations sociales et politiques tout en dirigeant son récit autour de l’action et de la mythologie originelle.

 

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Au début des années 2000, côté jeu vidéo, un label new-yorkais appelé Rockstar Games s'apprête à révolutionner les mondes ouverts avec son prochain titre : Grand Theft Auto III. Mais en interne, d'autres projets circulent dans les couloirs. Contrairement à Sol Yurick, Les Guerriers de la nuit de Walter Hill est le film préféré de Sam Houser, président et cofondateur du studio avec son frère Dan (film qui a d’ailleurs en partie inspiré la saga GTA). Au même moment, Internet se propage dans les foyers et certains fans en profitent pour créer des sites dédiés à la franchise, incluant des forums de discussion, des relais d’informations, des photos et des extraits du film. Côté presse et divertissement, des références sont également placés ici et là dans des magazines de modes et sur la scène hip-hop.

Très vite, les deux frères britanniques lancent un projet en ce sens et Take-Two Interactive annonce le 1er août 2002 avoir acquis les droits pour adapter l'univers en jeu, qui sera d'ailleurs sous la responsabilité de Rockstar Toronto (anciennement Rockstar Canada).

Kelly Sumner, directeur général de Take-Two déclare : « Nous avons connu beaucoup de succès avec l’expansion stratégique de Rockstar Games, et l’ajout d’équipes internes de développement talentueuses. Comme les logiciels de divertissement, le secteur continue de s’étendre et nous nous attendons à ce que l’expertise de Rockstar dans le développement de propriétés intellectuelles uniques et de contenu primé continue de propulser Take-Two vers de nouveaux niveaux de succès. Nous sommes convaincus que les projets qui émergeront de Rockstar Vancouver et le produit The Warriors en développement à Rockstar Toronto, sera à la hauteur d’une réalisation que Rockstar a su concrétiser avec ses titres jusqu'à aujourd'hui. »

Le studio dévoile pour la première fois le jeu au grand public lors de l'E3 2005. Prévu pour octobre 2005 sur PlayStation 2 et Xbox, très peu d'informations sont partagées jusqu’à l'ouverture du site officiel à la fin de l'été. Accompagné par des images exclusives et une bande-annonce, nous apprenons que le joueur débutera l’histoire sur le territoire des Warriors à Coney Island avant de croiser la route des Savage Huns de Chinatown, des Hi-Hats de Soho et des Hurricanes de Spanish Harlem, laissant derrière lui une traînée de membres cassés et de jointures ensanglantées. Le 17 octobre 2005, le jeu débarque dans les magasins nord-amércains ; il sortira en Europe le 21 octobre.

L'APPEL DE LA NUIT
 

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Le jeu commence sous forme de flash-back et se déroule trois mois avant les événements du film. Le joueur incarne une jeune recrue du gang des Warriors, Rembrandt, destiné à devenir le chef incontesté du groupe et qui va revivre les moments qui ont fait la renommée du gang. Conçu comme un beat'em all linéaire d’une quinzaine d’heures, The Warriors est découpé en plusieurs chapitres et niveaux qui ont leurs propres caractéristiques mais qui retranscrivent parfaitement l’ambiance de la version cinéma, que ce soit par la mise en scène, les cinématiques, les animations, les décors, le travail sur la lumière, les détails, les dialogues explicites, le doublage (avec la présence de certains acteurs de l'époque) et la musique des années 70.

Les premières heures permettent au joueur de se familiariser avec toutes les subtilités du gameplay et après quelques missions, d’accéder à un menu via une planque qui permet de choisir différentes activités : continuer la mission principale, se balader librement dans Coney Island, rencontrer des personnages qui proposent des missions, jouer à certains modes (par exemple le mode « baston » qui se déroule dans des arènes), faire de l'exercice (à la manière de CJ dans GTA: San Andreas), ou encore s'entraîner au combat. Concernant les combats d’ailleurs, ils sont naturellement au cœur du gameplay et fonctionnent via des combos plus ou moins complexes (coups forts, coups faibles et attaques spéciales).
 

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Pour rester en vie, le joueur dispose d’une jauge de « rage », peut combiner des attaques, utiliser des objets (menottes, battes de baseball, télévisions) et saisir voire projeter un ennemi. Enfin, il est possible de donner 6 ordres différents aux autres membres du groupe comme « Massacrez-les ! », « Couvrez-moi ! » ou le très satisfaisant « Saccagez tout ! », une option qui peut s’avérer très utile selon les situations. Cependant, la furtivité est également une alternative intéressante qui permet de varier les exécutions ou, en jetant des objets, d'attirer discrètement les ennemis voire la police de façon maligne. Enfin, par-delà les quelques éléments du décor destructibles, de nombreuses courses-poursuites sont présentes et forcent le joueur à escalader divers obstacles pour ne pas se faire attraper.

Inspiré par le jeu Double Dragon de 1987, le titre s'inscrit comme un des beat'em all les plus complets et efficaces de son époque. Contrairement au film, chaque coup porté s’exprime ici dans une violence exacerbée ; entre le sang, les craquements d’os et les cris de douleur, le travail sur le son crée une immersion saisissante. Dans cet univers sans foi ni loi, le joueur peut s’en prendre aux passants, volé des autos radios dans les voitures (soit en brisant la vitre soit en crochetant soigneusement la porte à l’aide d'un mini-jeu), dévaliser les boutiques pour trouver une arme, une dose de flash (produit qui permet de régénérer sa santé ou de réanimer des coéquipiers), une trousse de soin ou des bombes de peinture qui serviront à taguer sur les emblèmes adverses. Enfin, il est également possible de faire des mini-jeux et de recommencer une mission voir le jeu complet en coopération.

CULTURE POPULAIRE
 

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Affiche promotionnelle pour The Warriors dans les rues de New York
 

Après plusieurs nominations aux NAVGTR fin 2005, Rockstar et The Retail Mafia sortent une gamme de vêtements à l’effigie de la franchise : « Pour commémorer la sortie de notre adaptation en jeu vidéo du film culte de 1979, The Warriors - Rockstar s'est associé au collectif de designers de la Retail Mafia pour vous proposer cette série exclusive de t-shirts et de sweats à capuche en édition limitée. Des entités de conception allant de alife à SSUR en passant par IRAK et aNYthing et bien d'autres ont été sollicitées pour créer des vêtements uniques basés sur les gangs infâmes du film et du jeu. »

Quelques mois plus tard, Roger Hill, la star du film de 1979, porte plainte contre la compagnie au R étoilé et T2 en les accusant d’avoir utilisé son image dans le jeu sans son accord. Réclamant 250 000 dollars de dédommagement (sur un total de 37 millions de revenus générés par le jeu selon la plainte déposé), un porte-parole de l'éditeur américain déclare que la société « dispose d'une licence tierce valide pour les droits d'utilisation de l'image de Roger Hill, du personnage de Cyrus dans le jeu vidéo The Warriors et les supports marketing associés ». Bien qu'aucun verdict n'a jamais été rendu public, nul doute que Roger Hill n'a jamais vu la couleur de cet argent.

Le 18 octobre 2006, Take-Two annonce que le jeu va prochainement faire son apparition sur la PlayStation Portable de Sony. D'une collaboration entre Rockstar Toronto et Rockstar Leeds (studio qui s'est spécialisé dans le portage sur consoles nomades à cette époque), le jeu est prévu pour les fêtes de fin d'année et Sam Houser déclare : « Nous avons décidé de créer un jeu portable très sophistiqué qui offre une expérience viscérale inédite sur le système PSP. Nous sommes impatients de placer la barre très haute pour le genre du jeu de combat sur le système PSP en proposant une expérience extrêmement élégante et exceptionnellement profonde. »

Gordon Hall, président de Rockstar Leeds, s'exprime également sur le jeu : « Nous avons travaillé en étroite collaboration avec Rockstar Toronto pour maintenir les standards extrêmement élevés qu'ils ont fixés pour ce jeu. Le système PSP nous permet de proposer une expérience totalement différente, tout en restant très fidèle au matériel source original et en respectant les standards élevés que nous nous sommes fixés en tant que développeur. »

Malgré un report au 12 février 2007 sur le sol américain et le 13 en Europe, des tags aux couleurs du jeu sont dissimulés dans différentes rues de New York pour en faire la promotion. Pour le reste, bien que cette version soit une copie conforme à la gamme console et offre quasiment le même contenu, des problèmes techniques (saccades, gestion de la caméra) et un rendu visuel diminué viennent quelque peu entacher l'expérience.
 

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The Warriors: Street Braw par CXTM (2009)
 

Dés lors, la marque va peu à peu disparaître du paysage vidéoludique. Pour son 30e anniversaire en février 2009, Paramount Digital Entertainment annonce qu'un nouveau jeu est en développement chez CXTM et prévu pour l'été. En septembre 2009, The Warriors: Street Brawl voit le jour et le titre est bien loin des standards élevés de Rockstar. Suivant toujours les événements du film, le titre propose un jeu de combat très limité façon années 80, une vingtaine de missions très similaires, répétitives et des ennemis tous identiques. Bien que le jeu soit jeu sombre, la musique moderne ne colle pas avec l'univers et aucun doublage n'est présent. 
 

En avril 2011, alors que tous les yeux sont rivés sur l’annonce imminente du futur Grand Theft Auto V, nous apprenons via Matt Kazan, un artiste environnement de Rockstar Toronto qui a quitté l'entreprise en 2010, qu’une suite était officieusement prévue. Intitulée We Are The Mods, celle-ci aurait visiblement fait voyager le joueur dans les années 60 en Grande-Bretagne et aurait vu s’opposer deux fractions : les Mods et les Rockers.

Il déclare : « Le projet avait commencé comme une suite spirituelle pour PlayStation 2 du précédent succès The Warriors, mais au cours du cycle de développement, Rockstar New York nous a demandé de passer d'un développement de sixième génération à un développement de septième génération, passant de la PlayStation 2 à la Xbox 360 comme plateforme de développement principale. Une grande partie du contenu ici reflète ce changement, les Mods étant le premier projet de septième génération sur lequel l'équipe a travaillé. Ce fut une expérience enrichissante pour tous ceux qui y ont participé. Le jeu était similaire en termes de conception et de style à The Warriors, mais se déroulait dans l'Angleterre des années 1960, à l'apogée de l'ère des Mods contre les Rockers. »
 

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Quelques éléments de We Are The Mods, la suite avortée de The Warriors.


Malgré tout, le studio semble particulièrement attaché à cet univers puisque le jeu sera disponible en émulation sur PlayStation 3 en 2013, des activités seront créées par la communauté sur GTA Online pour le 35e anniversaire du film en 2014, The Warriors Coney Island Festival sera mis en avant en septembre 2015, des activités seront mises en place à nouveau dans l'opus exclusivement multijoueur de GTA à l'occasion du 10e anniversaire du jeu The Warriors en 2015 et enfin le titre est désormais disponible sur PlayStation 4 en résolution 1080p en 2016.

En 2024, nous avons appris que selon des sources de TimeExtension, The Warriors était à un moment donné prévu - et même quasiment terminé - sur GameBoy Advance en 2005. La source déclare : « Nous voulions un jeu coopératif à quatre joueurs en utilisant le câble de liaison et tout ça. Nous avons terminé le jeu. C'était vraiment très amusant à jouer. Mais il n'est jamais sorti parce que c'était à l'époque où la PSP prenait de l'ampleur et nous n'avons pas vraiment vu de bons résultats sur Nintendo. À l'époque, Nintendo n'aimait pas promouvoir les jeux classés M. Nous étions à l'aise dans le pays de Sony, alors nous avons opté pour le portage direct de The Warriors sur PSP. »

En 20 ans, Rockstar Games a bien changé et la franchise, comme beaucoup d'autres au sein du label new-yorkais, a probablement fait son temps. Cependant, elle est toujours très ancrée dans la culture populaire. Ayant inspiré d’autres jeux comme Renegade et Double Dragon, des références sont restent omniprésentes aujourd'hui dans de nombreuses œuvres, que ce soit dans les films (American Gigolo), à la télévision (Les Simpson, Robot Chicken) ou encore dans l'industrie musicale (Method Man).

 

Thème principal de The Warriors


Et vous, quels souvenirs gardez-vous de The Warriors ? Le jeu vous a-t-il marqué ? N'hésitez pas à nous donner votre avis dans les commentaires et à partager vos expériences en rejoignant la communauté GTA Network France sur nos forums, Facebook, X, Bluesky et Discord.

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