-
Compteur de contenus
901 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
1
Tout ce qui a été posté par fande2cv
-
Bonjour, j'aimerai savoir à quel voiture correspond cette affiche ?
-
Bonjour,
-
Partagez les photos de vos plus belles voitures !
fande2cv a répondu à un sujet de jason60160 dans GTA V
Pour la cheetah c'est le contraire pour moi, avant je ne l'appréciait pas spécialement mais maintenant j'adore d'ailleurs voici ma collection de grotti -
MDR Merci
-
Mais c'est pas de notre faute !!! C'est Rockstar qui ont fait un bon en avant niveau véhicule mais les garages n'ont pas suivies
-
Bonjour, C'est vrai ? Une prochaine fois Merci ça fait plaisir Voici le nouveau et très bon test de Kalys ! ESSAI DEWBAUCHEE EXEMPLAR par Kalys Vous souhaitez changer de voiture, et prendre un coupé sportif capable de vous catapulter à des vitesses répréhensible dans les avenues de Los Santos, mais votre femme insiste pour que vous preniez une voiture spacieuse, avec un grand coffre et confortable. La rédaction va solutionner votre problème. Présentez lui la nouvelle Dewbauchee Exemplar, vous lui parlerez de son grand coffre, de ses luxueuses places arrières, de ses nombreux équipements mais bien sur vous prendrez soin déviter de lui parler du gros V12 sommeillant sous le capot ou du 0 à 100 abattu en 4'9 secondes. Essai Pour cet essai, c'est Luxury auto situé à Rockford Hills, qui nous a prêté une Exemplar fraîchement importé d'Angleterre. La nouvelle Dewbauchee compte s' imposer sur ce créneaux en pleines évolution des berlines sportive, puissante dominé par les Tailgater, Oracle, et autres Jackal. La voiture nous attendant sur le trottoir attire lil de beaucoup de passant, lignes acérées, hayon plongeant, un gabarit conséquent (d'ailleurs la Jester garé à côté passe pour une compact) , c'est un coupé ou une berline à la fin ? Comme cette voiture a une vocation de "sportive familiale" je vais traverser l'état direction Paleto Bay, comme si j'y emmenais ma petite famille. Pressé de démarrer, je m'attarderai sur le physique plus tard, mais je marrêterai juste sur les portes arrières magnifiquement intégré, vraiment discrète, on croirait vraiment une deux portes. En ville, la facilité de conduite est déconcertante, la direction très souple et incisive, l'excellent rayon de braquage, une boite auto réactive, le V12 repartant sur un filet de gaz. Le constat aurait pu être parfait, mais pour gommer le poids et procurer d'avantages de sensations, Dewbauchee a opté pour une suspension ferme. Si la tenue de route est excellente et que la voiture vire à plat, le confort est vraiment mauvais, chaque bosse se répercute dans l'habitacle, la voiture tape et rebondis sur tout les défauts de la route. Encore supportable en ville, j'espère que sa s'améliore à haute vitesse. Dans les rues sinueuses de Vinewood Hills, l'Exemplar devient le compagnon idéal, la direction chirurgical, le châssis très efficace aidé par tout un armada de technologie vous permettront d'enchaîner les virages rapidement, la voiture ne piège quasiment jamais son conducteur, il faudra vraiment la pousser dans ses derniers retranchements pour partir en têtes a queue. Je m'arrête quelques minutes pour contempler la voitures car l'Exemplar c'est avant tout un physique ! Devant ce magnifique pare choc ajouré , ainsi que le capot gonflé bardé d'aération et les magnifiques phares xénons font leur plus belle effet. Sur les côtés on retrouve ces lignes tranchantes s'étirants jusqu'à l'arrière du véhicule. Les magnifiques jantes de 20 pouces sont abrité par des ailes sur dimensionner et des aérations pour refroidir le bouillant V12. Derrière un magnifique hayon plongeant qui ne suffira pas à dynamiser un arrière assez basique par rapport au reste. Il est tant de repartir le long de Tongva Valley en direction du désert. Les aboiements du V12 se font strident à l'approche de la zone rouge, hurlant à chaque pression sur l'accélérateur. La boîte auto rétrogradant à chaque impulsion de notre part, chaque dépassement se fera en un éclair dans une mélodie déchirante. Bien sur, notre Dewbauchee de plus de deux tonnes n'a pas la puissance de vrai GT tel que les Pfister ou Grotti.. Mais la puissance est quand même la, et on se retrouve vite a des allures mettant en danger notre permis. Qui dit puissance, dit freinage. Et le freinage est vraiment à la hauteur. Puissant et endurant il stoppe la voiture peu importe les conditions météo. Le désert et ses longues lignes droites se profile, je file toujours a vive allure mais c'était sans compter sur les routes bosselé et pleines daspérité qui se dressent devant moi. Et sa recommence, la voiture saute, est ballonner dans tous les sens, et les répercussions violentes n'arrêtes pas dans l'habitacle.. Encore cette amortissement... Je laisse Grapespeed sur ma droite, pour m'engager sur les sentiers bordant le Mont Chiliad. Et comme on pouvait s'y attendre la voiture tape dans tous les sens, aidée ni par son châssis ferme, ni par sa ceinture de caisse très basse, et en virage serré, les deux tonnes vous rappelleront à l'ordre et les roues arrières auront tendances à passer devant les roues avant. Bref l'Exemplar n'est vraiment pas faite pour les chemins de terres. Paleto en vue, après une petite séance photo au bord de l'océan, je m'engage sur la freeway pour retourner en ville, et la voiture s' est montré impérial sur ce parcours. Vitesse de pointe très satisfaisante, des changements de cap très sur, une boite auto au diapason, un V12 débordant d'énergie , pas de doute l'autoroute et son terrain de jeux. En passant sous le tunnel, la réverbération du chant du moteur est magnifique au point qu'on rêve d'aller retour dans un tunnel. A l'entrée de la ville, un épisode pluvieux, la voiture reste sûr tant que l'on évite les virages serré , ou quelques glissades pourrait vous rappelez à l'ordre. Il est tant à mon grand regret de la ramener... Bon ben il ne me reste plus qu'a demander un acompte de 205 000$ au chef ! Conclusion N'atteignant pas le confort de berline traditionnelle ni les performances de véritable GT, l'Exemplar se veut un compromis rassurant. S'appuyant sur un physique de missile et un V12 musclé et mélodieux, les pères de famille seront conquis sans l'ombre d'un doute. Avec un confort inexistant, la femme et les enfants seront moins sous le charme. Il se consoleront avec un intérieur très bien fini, bardé d'option et beaucoup de place. A quand la même avec un amortissement digne de son standing ? + - Design Confort Finition Conduite V12 Esthétique : 4.5/5 Maniabilité : 5/5 Comportement route sèche : 4/5 Comportement route mouillée : 3.5/5 Verdict : 17/20 Un coupé familiale de haut standing mais qui fait l'impasse sur le confort. Données constructeur : (Merci à Donki le gris pour m'avoir autoriser à utiliser les données de ses tableaux dont voici le lien https://www.gtanf.com...showtopic=19302 ) Fabricant : Dewbauchee Modèle : Exemplar Mécanique : V12 5,9L de 477 ch Catégorie : Coupé Transmission : Propulsion Nbr de places : 4 Prix véhicule neuf : 205 000$ Stats de base / Stats modifiées Bleu => Stats utilisées pour l'essai Vitesse max : 77,8 / 77,8 Accélération : 65,0 / 110,0 Freinage : 30,0 / 35,0 Maniabilité : 62,9 / 75,4 Crash test : Très bon Données Social Club : Véhicule réel inspiré pour le modèle : Aston Martin Rapide FIN
-
Merci à vous quatre ! Mise en place d'un sondage pour l'essai récit du 26 mars, les votes se terminent le 20 Mars à 20h
-
Merci ! Merci, je l'aime bien aussi Merci et pour le custom j'essaye toujours de me rapprocher du modèle réel
-
Merci mais c'était pour être en accord avec le logo
-
Bonjour, voici mon nouveau essai ESSAI BENEFACTOR SCHWARTZER BLACK SERIES par fande2cv En tant que directeur de ce journal, je me suis octroyé l'essai d'une version spéciale du coupé Schwartzer : la Benefactor Schwartzer Black Series. En effet ce coupé ultra sportif est dérivé de la Schwartzer normale qui elle même est la dérivée de la berline Schafter. Et oui c'est ça les constructeurs Allemand, on est habitué à avoir un nombre conséquent de versions pour un seul modèle. Essai : Pour pouvoir monter à bord de ce coupé passé entre les mains du préparateur maison, il fallait que je me rende dans le distributeur Benefactor sur Spanish Ave. A mon arrivé sur les lieux, je pu la découvrir garé sur le trottoir avec comme compagnie un Dubsta. Avant d'en prendre le volant je m'arrêtais sur le design extérieur. Les lignes de la face avant étaient en arrondies avec les optiques à LED de série sur toutes les versions, la calandre avec l'imposant logo en option et la ligne supérieur du pare choc. On pouvait aussi noter comme d'habitude sur les modèles à vocations sportifs des prises d'aires sur le pare choc et le capot afin de permettre le refroidissement du V12. A l'opposé de l'avant, les lignes de l'arrière étaient anguleuses, saillantes jusque dans la signature lumineuse des feux. Pour ce qui est des différences avec la version de base, on pouvait remarquer un nouveau bouclier, comme à l'avant, de nouvelles sorties d'échappement et un toit en carbone. En outre le diffuseur et l'aileron en bec de canard présent sur la malle optimisaient le maintien au sol du véhicule. Dans cette version blanc mat les insères noir de la Schwartzer ressortaient, surtout en vue de profil avec le contour des fenêtres, les jantes, les bas de caisse, le diffuseur arrière et le toit. En plus de ça les lignes du profil sont sculptées, musclées avec des passages de roues élargies et une ceinture de caisse remontant vers l'arrière. Le debriefing sur le design fini, je montais dans le coupé et je démarrais le moteur grâce au bouton start. En ville la Schwartzer se montre plutôt agréable avec un bon rayon de braquage mais les différents réglages effectués par AMG en font une voiture pas confortable et pas à mettre entre les mains de n'importe qui. Ces défauts n'en sont pas réellement car ils donnent une voiture radicale qui est aimée par les puristes du genre. En effet la voiture possède peu d'aide à la conduite, un amortissement ferme, une hauteur de caisse abaissée de quelques millimètres, une rigidité accrue et un train arrière joueur. Sur ces modifications viens se rajouter une très bonne boite séquentiel qui à chaque rapport fait sortir des flammes et crépitement des échappements. En voulant aller au sud de Los Santos je pris le périphérique intérieur et je pu m'adonner à quelques accélérations assez poussives mais qui ne vous colleront pas dans votre siège car le moteur ne possède pas de turbo, c'est un bon vieux atmosphérique. Je constatais entre autre une vitesse de pointe agréable mais qui aurait pu être un peu supérieure pour les grands trajets sur voie rapide. En sortant du périphérique la présence d'une déviation me fit prendre un chemin de terre. Là c'était la catastrophe, la voiture chassée dans les deux sens, les roues patinées à chaque accélération et les suspensions fermes n’arrangeaient rien. Le chemin quitté la pluie commença à tomber et le comportement se rapproché de celui du chemin de terre mais en plus sur. Les pertes d'adhérences étaient très présentes et handicapantes, le freinage était passé de bon à médiocre et à chaque virage le train arrière sortait de sa trajectoire au risque de faire une tête à queue. La pluie s'estompa et je rejoignais la concession pour rendre la Benefactor. Conclusion : Ce véhicule à vraiment deux visages, le visages d'une voiture radicale qui plaira aux puristes mais dès qu'il s’agit de s'aventurer sous la pluie ou chemin de terre la Schwartzer devient presque incontrôlable et dangereuse au milieu de la circulation. Cette voiture est donc destinée aux personnes recherchant une sportivité à l'état brut qui sera se dévoiler sur circuit ou sur route sinueuse mais surtout pas en centre ville. La Schwartzer Black Series est donc un véhicule de circuit homologué pour la route autant vous dire que cette engin est à essayer au moins une fois dans sa vie. + - Sportivité pur Comportement sur chemin de terre Design expressif Comportement sur route mouillée Boite séquentiel Freinage train arrière joueur Confort Accélération Esthétique : 5/5 Maniabilité : 4/5 Comportement route sèche : 3,5/5 Comportement route mouillée : 2/5 Verdict : 14,5/20 Un coupé radicale qui peut provoquer des frayeurs. Données constructeur : (Merci à Donki le gris pour m'avoir autoriser à utiliser les données de ses tableaux dont voici le lien https://www.gtanf.com...showtopic=19302 ) Fabricant : Benefactor Modèle : Schwartzer Black Series Mécanique : V12 6,3L de 517 ch Catégorie : Sportive Transmission : Propulsion Nbr de places : 2 Prix véhicule neuf : 80 000$ Prix de revente : 8 000$ Stats de base / Stats modifiées Bleu => Stats utilisées pour l'essai Vitesse max : 78,87 / 78,87 Accélération : 72,5 / 117,5 Freinage : 30,0 / 35,0 Maniabilité : 62,77 / 75,27 Crash test : Assez bon Données Social Club : Véhicule réel inspiré pour le modèle : Mercedes Class-C coupé AMG black series + Mercedes Class-E coupé / Class-CL FIN Voilà pour cet essai Pour ceux qui sont passionné d'auto je vous invite à rejoindre mon crew créé avec un pote http://fr.socialclub.rockstargames.com/crew/mustgang Ps : Petit clin d’œil à Kalys pour la plaque de la Schwartzer
-
Oui on peut rien y faire
-
Enfin ils auraient pu faire une nouvelle austin et prendre les dernières berlines américaines : Malibu, Impala, Taurus,.....
-
et voilà on est d'accord, moi je suis nostalgique des peugeot 203 et 403 donc voilà Moi j'ai pas connu l'époque des 203 403 mais la disparition des austin et autre berline américaine je trouve ça vraiment dommage
-
Très sympa ces taxis @LeVieux puisque tu aimes les taxis, tu en penses quoi des nissan NV200 qui remplacent peu à peu les taxis des grandes villes telles que New York, Londre, Chicago ? Moi je trouve que les villes perdent leur charme
-
Avec un directeur merveilleux Bagua à part voici ce qui vous attends cette semaine Mercredi : Mon essai sur la ................................... Samedi : Essai de la ........................... par Kalys LOL bon je fais semblant de pas savoir alors De toute façon la rédaction possède des gros bras qui feront passer l'envie de divulguer des informations
-
Je n'ai jamais rien dévoiler
-
Avec un directeur merveilleux Bagua à part voici ce qui vous attends cette semaine Mercredi : Mon essai sur la ................................... Samedi : Essai de la ........................... par Kalys
-
Merci J'ai pas mis les autres versions car je trouve le comportement différent par rapport au mesa
-
Bonjour, voici le dernier essai de cette semaine de stage avec un peu de retard (pas disponible ). ESSAI CANIS MESA par Pigsy Pour mon premier essai, je vais tenter de vous délivrer mon avis sur le Mesa, de Canis qui est un SUV tout terrain que l'on ne présente plus, de part sa popularité, la Mesa a su trouver une place au sein de nombreux foyers Américain depuis sa commercialisation en 1979. A défaut de vous présenter les dérivées de ce 4X4, que sont le Crusader et le Merryweather Mesa, dont seul la compagnie militaire privée et l'armée sont les possesseurs, nous allons nous attarder sur la version civile du véhicule. Essai : Afin de m'élancer de la meilleure des manières pour conduire le Mesa, rien de mieux que de partir au matin, depuis l'autoroute de la région de San Andreas pour d'abord cerner les capacités, ainsi que la prise en main du véhicule sur l'asphalte. Je rencontre le loueur qui me donne les clefs de sa voiture, et pars alors dans la brume matinale. Je m'élance sur la route. Première accélération, je suis le trajet indiqué par le GPS pour rejoindre la ville, et c'est au bout de quelques minutes au volant du véhicule que je me fais mes premières idées par rapport à celui-ci. Le Mesa ne semble tout d'abord pas être un véhicule fait pour débouler à toute vitesse sur la route, de par ses capacités d'accélération, mais aussi de puissance. On éprouve des difficultés à dépasser les autres voitures, même en étant à pleine vitesse. Si'l n'impressionne pas par rapport à sa rapidité, le Mesa se rattrape de par sa maniabilité, digne des meilleurs SUV du marché. Facile à conduire, il m'amène dans les rues Los Santos en quelques heures. Arrivé en ville, je me gare pour aller prendre un café. A mon retour , je me pose, et m'attarde sur l'aspect physique du Mesa. Simple et rudimentaire, le look du 4X4 ne nous laisse pas une impression de laideur. Bien au contraire, celui-ci ce montre d'un côté banal, mais d'un autre abord une sorte de charme auquel un Américain de base ne peut résister, de par son aspect guerrier, robuste , militaire qui rappelle étroitement celui de son frère, le Crusader. Ce qui caractérise le plus le Mesa est sans doute ces phares arrondis, qui lui permettent de s'identifier par rapport à ces concurrents. Toutes les couleurs semblent lui convenir, des plus flashy aux plus sombres. Après avoir fait le tour de la ville afin de juger sa tenue dans le monde citadin, je pars alors dans le San Andreas profond, afin de m'aventurer dans les chemins les plus abrupts de la région. J'en profite ainsi pour me procurer les fruits et légumes locaux! C'est parti pour une session "off road" dans laquelle descente, escalade, et passage dans les chemins ardus seront de mise ! Ceinture attachée, je dévale tout d'abord la pente se situant devant moi, avec une mélodie Rock n' Roll en fond, qui me procure une adrénaline non négligeable. Le plaisir qu'engendre cette descente, qui plus est, avec le Mesa est énorme. La tenue du 4X4 est parfaite. Celle-ci nous empêche complètement de faire un tonneau , ou d'avoir un accident. L'aisance que j'ai en conduisant à travers les chemins et les montagnes me laisse croire qu'il ne faut pas être un conducteur hors norme pour maîtriser le Canis dans son domaine de prédilection qu'est le tout terrain. L'heure de rendre le Mesa est arrivé, je retrouve son propriétaire à Sandy Shores, la ou nous nous sommes donné rendez-vous , et en profite pour prendre une dernière photo. Conclusion : Le Mesa est un véhicule SUV de qualité. Il offre au conducteur de nombreux aspects positifs, comme sa tenue de route,sa maniabilité, ou encore son accessibilité à tous, même aux aventuriers en herbe , en quête de sensations dans les montagnes de San Andreas. Il n'en reste néanmoins pas parfait, et montre quelques points faible en terme de vitesse, de puissance. Avec un design banal, mais loin d'être hideux, le Mesa de Canis semble avoir toutes les cartes en main pour perdurer dans le marché du SUV . + - Maniabilité Puissance Tenue de route Accélération Design simple, mais efficace Comportement "off road" Esthétique : 3/5 Maniabilité : 4.5/5 Comportement route sèche : 4.5/5 Comportement route mouillée : 4/5 Verdict : 15/20 Voiture agréable et facile d’accès. Données constructeur : (Merci à Donki le gris pour m'avoir autoriser à utiliser les données de ses tableaux dont voici le lien https://www.gtanf.com...showtopic=19302 ) Fabricant : Canis Modèle : Mesa Mécanique : V6 3.6L de 284ch Catégorie : SUV Transmission : Intégrale Nbr de places : 4 Prix revente : 3000$ Stats de base / Stats modifiées Bleu => Stats utilisées pour l'essai Vitesse max : 69,75 / 69,75 Accélération : 42,5 / 87,5 Freinage : 10,0 / 15,0 Maniabilité : 45,72 / 58,22 Crash Test : Assez Bon (les roues sont mal protégées) Données Social Club : Véhicule réel inspiré pour le modèle : Jeep Wrangler FIN Voilà pour ce dernier essai. J'espère que cette semaine vous aura plus car elle sera surement renouvelée pour les prochaines vacances. Maintenant en raison des nouveaux arrivants, deux plages du samedi seront réservées pour l'essai Top Gear et l'autre pour l'essai d'une moto et d'une voiture (fait par un stagiaire) Soit un planning à partir d'Avril : 1er mercredi : Essai véhicule par moi même 1er samedi : Essai par Kalys 2eme mercredi : Essai par moi même 2eme samedi : Essai par Kalys 3eme mercredi : Comparatif rédigé par moi même et avec la participation de Kalys 3eme samedi : Essai Top Gear par Mr Golfi 4eme mercredi : Essai récit par moi 4eme samedi : Essai Moto par Valou + Essai voiture par un stagiaire Bonne journée,
-
Partagez les photos de vos plus belles voitures !
fande2cv a répondu à un sujet de jason60160 dans GTA V
Très jolie ! Mes trois nouvelles caisses en solo -
Modifié. Vu qu'il n'y a pas beaucoup de moto je pense en poster un par moi
-
Sympa les taxis ! Je les avaient déjà vu sur l'autre topic ESSAI VAPID SADLER par Cavel Pour faire mes preuves, la rédaction ma confié un essai qui n'est pas des moins importants. On parle ici du véhicule le plus vendu dans nos contrées depuis de 30 ans, vous l'aurez compris il s'agit du Vapid Sadler. Essai Pas de fioriture chez Vapid, j'arrive et on me confie directement les clés sans me donner d'itinéraire particulier. Pensant déjà aux grands espaces de Blaine County, je me dirige vers le parking. Le monstre apparaît alors, haut de 1,90 mètre et pesant plus de 3 tonnes il est tout simplement impressionnant. Pourtant en regardant l'avant, on distinguerait presque une certaine 'finesse' grâce a la petite calandre et aux feux horizontaux de petite taille. Mais il suffit de regarder le profil pour prendre vraiment compte du mastodonte, la ligne est quasiment horizontale si l'on excepte la véru de la double cabine. L'arrière est quand a lui plutôt simple avec des feux discrets rejetés sur les côtés. Le tour du propriétaire étant fait, je démarre le moteur, rappelons la fiche technique : moteur V8 5.4 de 360 chevaux pour 4 roues motrices et un 0-100 difficilement atteint en 17,6 secondes. C'est donc avec une certaine appréhension que j'appuie sur l'accélérateur, pourtant habitué a de faibles puissances les 360 chevaux me paraissant un peu faible pour les 3 tonnes. Je m'engage alors dans le trafic de Los Santos heureusement fluide... et je découvre que le Sadler n'est absolument pas a sa place dans ce trafic citadin, taille énorme, rayon de braquage gigantesque, visibilité a l'avant réduite par la hauteur du capot; un moteur qui n'apprécie pas les faibles régimes et très bruyant. Heureusement la Freeway se profile à l'horizon et je m'engouffre dans un trafic déjà beaucoup plus embouteillé. La encore à vitesse réduite je peste contre les bourdonnements et le bruit du moteur. Je décide alors de sortir de l'autoroute et de tester ce que vaut ce 4x4 dans le terrain qui lui est prédestiné, la terre. Prudent au départ, le Sadler mets très vite en confiance et vous incite a accélérer sur ces petites routes sinueuses et boueuses. Là le Sadler s'apprécie, boite courte parfaitement étagée, transmission 4x4 très efficace, garde au sol suffisamment haute tout en maîtrisant la prise de roulis... J'ai donc enfin trouvé l'utilité du Sadler, rouler a fond sur une route a l'adhérence faible. Mais je me suis rappelé que derrière ma cabine se trouvait une benne. Je repars donc 1h plus tard chargé de 150 kilos d'un liquide que je ne nommerais pas (et oui je tiens à ma licence de journaliste) !!! Cette fois une route bétonnée déserte s'offre a moi, la route 68. La aussi le Sadler est à l'aise et reste suffisamment communicatif sur l'état de la route. Le moteur paraît un peu à la peine c'est pourquoi je propose aux futurs acheteurs de prendre une version plus puissante qui devrait mettre plus en valeur de lourd 4x4. Mais j'avais oublié un léger détail... qu'un signal rouge me permis de (malheureusement) m'en souvenir. Il me faut passer a la pompe, seulement 250km parcourus et une consommation moyenne de 23 L/100 ! Certes ma conduite avait été dynamique mais je ne m'attendais pas a une pareille consommation d'un 'petit' V8. Ce signal me permet également de jeter un petit coup d'oeil sur l'électronique embarqué, et la déception, aucun équipement moderne et les vitres arrières sont manuelles ! Décevant pour une voiture qui affiche un ticket d'accès assez élevé de 35 000$. Ma journée touche bientôt a sa fin et je reprends donc la route de Los Santos qui me permets de valider la dernière partie de mon essai. Effectivement la pluie s'invite sans que cela ne gène le Sadler qui trace sa route imperturbablement, comme sur la boue il affiche une sécurité exemplaire même si l'agilité n'est pas très bonne. La concessionnaire Vapid du centre ville apparaît et j'avoue qu'après un début décevant j'ai pris énormément de plaisir au volant sur terre. Conclusion Le Vapid Sadler mérite sa place de N°1 du marché Américain, une tenue de route très bonne quelque soit le terrain et une motricité exemplaire, le Sadler est pour moi le meilleur pick-up grâce à sa capacité à tout faire que ce soit transporter des charges importantes, gravir une montagne ou parcourir le désert. Mais il pèche par un moteur calamiteux, une finition exécrable et un niveau d'équipement en deçà de ses concurrents. Il est donc le véhicule à tout faire par excellence. + - Motricité Moteur Solidité Finition 4 roues motrices très efficaces Equipement Esthétique : 3,5/5 Maniabilité : 3,75/5 Comportement route sèche : 4/5 Comportement route mouillé : 4,5/5 Verdict : 15,75/20 Un excellent pick-up très pratique. Données constructeur : (Merci à Donki le gris pour m'avoir autoriser à utiliser les données de ses tableaux dont voici le lien https://www.gtanf.com...showtopic=19302 ) Fabricant : Vapid Modèle : Sadler Mécanique : V8 5.0L de 360ch Catégorie : Utilitaire Transmission : Intégrale Nbr de places : 4 Prix d'achat : 35000$ Prix de revente : 3500$ Stats de base / Stats modifiées Bleu => Stats utilisées pour l'essai Vitesse max : 69,75 / 69,75 Accélération : 50,0 / 95,0 Freinage : 20,0 / 25,0 Maniabilité : 50,47 / 62,97 Crash test : Médiocre Variante : Données Social Club : Véhicule réel inspiré pour le modèle : Ford F-Series XI FIN
-
Merci pour le commentaire sur la version
-
C'est fait exprès, Kalys essaye des voitures bas de gammes modifiées pour leur donner du punch. Pour chaque voiture je m'inspire de véhicule réel ( Minivan ESS --> Dodge Caravan ESS, Blista R --> Civic Type R Concept, Serrano AMG --> GLK AMG )
-
Bonjour, En faite je savais pas quoi trop mettre comme note donc j'ai assez improvisé Pour l'idée je me suis inspiré du test de l'hummer H1 Moi j'ai regardé que quelques épisodes car je n'ai pas encore les nouvelles chaînes Ça marche ! ESSAI BENEFACTOR SERRANO AMG par Kalys Les constructeurs de SUV premium se livrent une guerre sans merci sur ce créneau qui prend une place de plus en plus importante. Ce coup si c'est à Benefactor de tirer, et j'ai l'honneur de vous présentez son nouveau "missile". V12 de 6.5L, double turbo, un couple de 38 tonnes (1000nm), les Rocoto et autre Baller n'ont qu'à bien se tenir. Mais les chiffres ça ne fait pas tout, surtout que le Serrano étant une version plus européenne, sa place est encore à faire dans nos contrées (son grand frère le Dubsta est bien plus "américaniser"). De plus avec quasiment 2,4 tonnes sur la balance, le Serrano n'est pas une ballerines. Essai Pour cet essai, c'est donc Auto factory situé sur Grove Street, qui nous a prêté le véhicule. Malgré son gabarit réduit pour la catégorie, le Serrano n'est pas vraiment du style discret. Grosse calandre, immense pare choc avant collé au sol et quand on le voit arriver dans le rétroviseur, le Benefactor en impose. Jusqu'à l'arrière il exhibe ses muscles, avec des énormes ailes élargies des bas de caisses proéminent, de sublimes (et immenses!!) jantes noires et un petit logo V12 . L'arrière est en harmonie avec le reste du véhicule, souligné par un très beau pare choc, mais je trouve la double sortie d’échappement assez basique, par rapport au reste. L'intérieur est évidemment luxueux comme les standard de la marque l'impose, bien loin de certaine finition américaine bien plus approximative. Le look ok, voyons ce que nous réserve la suite. Premier constat décevant, les deux premiers rapports sont loin d'être impressionnants car ils sont bien trop courts. Les accélérations sont linéaires et peu démonstratives. Par contre la sonorité est bel est bien au rendez vous, le V12 poussant des vocalises graves et rauques dignes des plus grands championnats de DTM. La suspension pneumatique en option est d'un excellent niveau sur route, absorbant les défauts, et faisant virer à plat le Serrano en n'importe quel circonstance. Malgré sa hauteur, il ne tangue pas. Je continue mon chemin le long des rails pour regagner l'autoroute, en croisant un Dubsta, une petite photo s' imposa pour mettre en avant la différence de style des deux "frères". Je repris ma route et en ville, le Serrano est vite devenu pénible à conduire. Un mauvais rayon de braquage, une direction flou et peu agréable à basse vitesse, un poids de baleine et surtout cette boîte auto, qui plombe les accélérations du V12. Il me tarde l'autoroute pour enfin sortir de ce centre ville... Par contre les freinages sont très surs, les énormes disques freinent très forts, très longtemps, j'ai d'ailleurs rarement vu un freinage pareil. Ça y est les grands axes se profilent, on va enfin voir ce que notre allemande à dans le ventre. Passer la 3e, je suis pris d'un grand soulagement, le V12 est la. L’étagement beaucoup plus juste permet de libéré la puissance du V12. Les accélérations nous incrustes dans les sièges, les dépassements ne deviennent plus qu'une formalités. La boîte auto devient très intelligente et réactive, rétrogradant à chaque impulsion sur l'accélérateur, et grâce à ses 7 vitesses (oui, 7!), la vitesse maximum est excellente pour un véhicule de ce type. En sortant de l'autoroute, en direction du mont Gordo, le Serrano avale le bitume, engloutissant virages, lacets et bosses avec une facilitée déconcertante. En grimpant le mont Gordo, le bilan est en demi teinte. Le moteur et la traction permettent de monter partout, mais il faudra de nouveaux batailler avec la boîte auto sur les premiers rapports. De plus la suspension pneumatique, si confortable sur route, se désunit complètement sur les bosses des chemins de terre, et on est balancé dans tout l'habitacle. Grâce à un épisode pluvieux, sur le chemin du retour, je me suis aperçu de l'ébauche de technologie déployée par Benefactor. Le Serrano reste imperturbable, c'est bluffant, le freinage et le comportement ne sont pas altérés. Conclusion En ville, le Serrano n'est vraiment pas un cadeaux. Lourdeur, direction aléatoire, et boite auto pas adapté seront les principaux points noirs. Mais dès qu'on sort des centres villes, le Serrano devient plaisant, puissant et imperturbable quoiqu'il arrive. Le châssis et le freinage sont des merveilles de technologies. Largement suffisant en hors piste, et très convaincant sous la pluie, c'est un véhicule de premier choix pour ceux qui habitent Blaine County ou pour les amateurs de grandes avenues. Pour ceux qui cherche de la sportivité pur, passez votre chemin, le Serrano est plus un SUV polyvalent que extrême. + - Design musclé Accélération Polyvalence Boite de vitesse Sonorité Usage sur route étroite Esthétique : 4/5 Maniabilité : 3,5/5 Comportement route sèche : 4/5 Comportement route mouillée : 3/5 Verdict : 14,5/20 Un SUV qui propose un excellent compromis avec en prime un physique d'athlète. Données constructeur : (Merci à Donki le gris pour m'avoir autoriser à utiliser les données de ses tableaux dont voici le lien https://www.gtanf.com...showtopic=19302 ) Fabricant : Benefactor Modèle : Serrano AMG Mécanique : V12 6.5L de 306ch Catégorie : SUV Transmission : Intégrale Nbr de places : 4 Prix de revente: 6000$ Stats de base / Stats modifiées Bleu => Stats utilisées pour l'essai Vitesse max : 69,75 / 69,75 Accélération : 50,0 / 95,0 Freinage : 13,33 / 18,33 Maniabilité : 49,18 / 61,68 Crash test : Bon Données Social Club : Véhicule réel inspiré pour le modèle : Mercedes ML II + Mercedes GLK / GL FIN