LeMoutz

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  1. Vote positif
    LeMoutz a/ont donné une réputation à Kiryama666 dans [PC] Dark Riders Motorcycle Club-RP Biker   
    Grands férus de bécanes américaines ainsi que tout ce qui touche à la culture des MC, nous formons un gang de bikers basé à Paleto Bay, plus exactement au Beeker's Garage qui nous sert de QG.

    Nous pratiquons le RP à raison d'une fois par semaine minimum (session du dimanche soir), voir deux fois quand les disponibilités de chacun nous le permettent. 
    Si vous vous en sentez les épaules et que le RP vous attire, vous êtes les bienvenus. 

    Nos sessions sont créées pour la plupart sous formes d'activités scénarisées via l'éditeur et il nous arrive à l'occasion d'improviser en mode libre. C'est pourquoi nous demandons à chaque joueur de s'investir dans son rôle afin de rendre ces soirées plus vraies que jamais.

    Hors session RP, nous faisons ce qui nous plait : à savoir activités en tous genre, braquages, missions de PDG, courses, etc... La dimension biker n'est cependant pas à laisser de côté. Il vous sera demandé de porter votre patch en permanence, ainsi que représenter votre club comme il se doit.

    Quelques règles de base:

    - Posséder micro + mumble
    - Avoir 18 ans minimum (sauf si joueur très mature et motivé approchant de sa majorité, à négocier)
    - Les mods sont strictement interdits
    - Passer régulièrement sur le forum afin de se tenir au courant  de la vie du crew
    - Respecter les autres membres
    - Jouer de façon RP (charte explicative à votre disposition à lire et à signer dès votre inscription)


    En rejoignant ce MC, vous êtes tenus au courant qu'une hiérarchie est établie. Il faut cependant savoir que cette hiérarchie a pour première vocation de répondre au RP. Vous respectez vos supérieurs mais ces derniers n'abuseront en aucun cas de leurs droits.

    Après inscription sur notre forum, vous n'avez plus qu'à créer votre petite fiche dans la section "Présentation", ainsi que vous décrire. Autrement dit, une petite présentation IRL + votre expérience dans GTA ainsi qu'avec le Role Play serait idéale. 

    Vous deviendrez alors un Prospect, le temps que l'on s'assure que vous êtes dignes de confiance. Durant cette période-là, il vous sera interdit de porter l'insigne du MC et votre monture devra être peinte en blanc. 
    Si tout se passe bien, vous aurez donc la chance de passer par la suite "Full Patch", à savoir devenir un membre à part entière du MC.

    En espérant vous voir bientôt parmi nous !
     
    http://drmc.leforum.eu/index.php

    PS : Nous récupérons régulièrement les images de nos sessions qui, si elles peuvent donner lieu à un scénario, sont montées et diffusées sur Youtube sous forme ce courts métrages. Une façon sympa de se faire plaisir et de partager nos soirées. Jetez-y un œil....
    https://www.youtube.com/user/TheYasser21
     
     
     
    [Intro] La reconquête de Paleto Bay
     
    Nos ennemis de toujours l'ont senti passer. Faut dire que ces inconscients avaient tapé fort. Ils ont commit l'erreur suprême, ils ont volé la belle du Prés.

    Les retrouvailles étaient intenses. On s'est rassemblé au Vanilla comme au bon vieux temps. Tvk et Canta avaient une longueur d'avance sur Kiryama. Sa cavale lui avait presque fait oublier les filles du Club. Elles avaient l'air contentes de retrouver l'équipe. Ça sentait le cuir et l'huile de moteur... ou était-ce l'odeur de l'argent qui imbibait leurs sous-vêtements?

    Mais l'heure n'était pas à la rigolade. Même cinq ans après leur séparation, les gars savaient quand se mettre au taf. Et il était temps de faire chauffer les cylindres et de brûler de la gomme: direction Paleto Bay.
    Mais avant, on se devait de faire passer un message aux Lost. Ces lâches qui avaient tenté de nous mettre à terre.
    On a organisé un premier assaut sur leur repère de Vinewood East. On a tout balayé comme un ouragan. Et, enfin, le Prés retrouvait le sourire: sa bécane était là. Repeinte d'un rouge unique et dégueulasse comme seul ces blaireaux ont le secret mais au moins, elle était entière. Et avec le plein en plus!
    Ils entendirent tous les sirènes en provenance du centre-ville. Resté à l'entrée, le prospect leur fit signe que la voie était libre. Sans un mot, Kiryama fit claquer ses doigts pour donner le signal de départ et tous rejoignirent leurs montures pour s'arracher d'ici avant que ça ne devienne malsain.

    Faire vrombir les moteurs en plein désert agricole en faisant hurler les klaxons des pégus, ton frère à tes côtés, l'odeur d'essence et le vent dans les tifs: ça leur avait manqué. Mais ça devient fleurs bleues et on est pas chez les comiques d'East LS ici. Une pause calibre s'imposait.
    Attaquer deux repères dans la même journée: ils allaient le sentir passer. Il fallait marquer le coup. Les Dark Riders étaient là et ils avaient bien l'intention de le faire savoir. On a tapé vite et fort, on a balayé le camps d'Alamo Sea en quelques minutes. On était tellement dedans que c'est Canta qui nous a rappelé à l'ordre pour qu'on se tire. Kiryama a même dû hurler au Snake d'arrêter d'éclater la tête d'un corps qui était déjà mort depuis trois minutes. Sans blague, ses rangers étaient couverte de bouts de cervelle. Qui eu cru que les Lost en avaient autant?

    Sans attendre les renforts, on a mit les gaz pour s'enfoncer dans la montagne. Un affrontement direct avec ces clowns nous aurait coûté trop cher. Il nous fallait nous reconstruire avant de se lancer dans des batailles épiques. Trouver un local à Tvk pour qu'il reprenne la fabrication, renouer avec d'anciens contacts pour la revente et récupérer des armes plus efficaces que nos .45.


    L'arrivée sur Paleto fut nostalgique. En traversant l'avenue principale on matait tous ces coins chargés d'histoire avec une étincelle dans les yeux. Les bastons avec les bouseux du cru, les galettes posées dans les ruelles et les coups tirés à la va vite sur les parking avec des filles dont on a jamais pu retenir le nom et dont le visage s'est effacé de notre mémoire depuis bien longtemps.
    Mais toute cette euphorie a vite laissé place à la colère. En arrivant devant le Beeker's Garage, on a comprit ce que Canta voulait nous dire quand il décrivait la zone. Le parking était saccagé. Des épaves de bagnoles calcinées jonchaient le sol. La station essence été ravagée, ce qui avait du être un bus occupait tout l’appentis. La nature reprenait ses droit avec une végétation envahissante qui avait même réussit à percer le bitume par endroit.

    Et, horreur, une bande de clodo dégueulasse squattait le garage. On a tous mit pied à terre en faisant craquer nos jointures. Le prospect a ramassé un tesson de bouteille mais le Prés l'a arrêté: "T'as pas besoin de ça, faut marquer le coup mais inutile de les tuer. Fracassez moi ça les gars!"
    Ce fut court mais intense. Quand ils se relèveraient, ils ramasseraient leurs dents et ne reviendraient pas. On a rejoint le bureau pour constater l'ampleur des dégâts. Pas brillant mais pas dramatique. Les outils avaient bien sûr disparut mais les murs tenaient debout. On aurait quelques frais mais rien d'insurmontable. Tvk a lâché une liasse au prospect en lui expliquant où trouver le matos pour la réfection. Pour sûr, on avait du boulot mais ça pouvait attendre.
    Tout le monde a rejoint le pavillon de Kiryama où les sapes devaient les attendre. Il avait demandé à une meuf du centre de les faire livrer discrètement quelques jours plutôt. On a laissé le prospect devant en vigie et on s'est assit autour de la table avec des mousses. C'est là que le Prés a tendu les patchs à tous le monde. On s'est tous levé avec le sourire pour trinquer comme des vikings!
    Restait plus qu'à assurer sur la partie couture. De loin la tâche la plus dure de la journée.  
     
     
    [Épisode I] Les clefs de la Ville
     
    Digérant leur cuite autour d'un café arrosé de rhum, Kiryama et Jeriko été posé en terrasse d'un café sur Paleto. Jeriko n'arrêtait pas de l'ouvrir et il éclatait de rire sans raison toutes les trois minutes. A intervalles réguliers Kiryama lui disait calmement de la fermer mais ça ne changeait rien. Il était encore ravagé de la veille. La terrasse du bar était presque déserte. Une mère et son gosse sirotaient une bière et un soda à deux tables de là. Et le môme chialait. Un môme quoi.

    Kiryama rêvait de se lever, de coller une mèche à Jeriko et de sortir son feu pour en mettre une dans le genou du chiard. Il saurait pourquoi il pleure. Mais en écoutant leur conversation de plus près il avait capté une phrase curieuse. Ça parlait de curé et de caresses. Deux mots magiques qui, mit ensemble avaient le don de le mettre hors de lui. puta**, ils peuvent pas se taper des bonnes sœurs comme Risbo! Et cette connasse, plutôt que de l'envoyer à l'église, elle peut pas laisser son gosse dealer de la came comme un gamin normal. Toujours est-il que, prenant sur lui, le Prés s'est levé et est aller tailler une bavette avec eux pour en apprendre plus.  
    Deux coups de fils et une heure plus tard, les prospects les ont rejoins. Jeriko les a briefé en leur demandant de retourner les bars, les points chauds et les écoles pour glaner de l'info en allongeant du blé si nécessaire. Pendant ce temps, Kiryama repart sur LS pour épauler Tvk sur sa surveillance. Deux nuits qu'il planque aux abords des quais pour attendre l'arrivée de la livraison de méthylamine en préparant un plan sûr. Ça prenait forme.
    Bordel, la soirée s'annonçait chargée mais avec notre équipe de choc, on était optimistes.


    20h. Il était temps de s'y mettre. Les recrues n'avaient pas chômé. D'après les infos récoltées, le curé était un ami proche du nouveau commissaire. Il restait intouchable même si une visite de courtoisie ne serait pas déplacée. En revanche, le flic n'avait pas les couilles propres. Les on dit murmuraient qu'il tâtait de la blanche. On avait un coup à jouer. On s'est donc dispersé dans Paleto et les prospects ont réussit à loger la soirée. Trop facile. Le commissaire était posté en retrait sur le balcon de la villa en train de se fariner les narines sur la poitrine d'une pu** à la tenue soignée... Une belle photo souvenir qui, c'est sûr, nous ouvrira un max de portes. On s'est éclipsé en douce et on a rejoint l'église avant que le prêtre ne s'arrache. On pouvait pas partir sans lui faire un p'tit coucou.
    Mais quel tas de merde. Il suppliait. On avait tous en tête l'image d'un môme se mettant à sa place. Quelle ordure. On lui a fêlé des côtes, brisé deux doigts et on lui a copieusement arrosé la tronche de coups de poing. On retenait les gars pour qu'ils ne le fument pas: la tentation était grande. Il a ramé mais il l'a fermera. Ça l'a calmé. Pour être sûr on a saccagé sa caisse. Ça a détendu tout le monde pour qu'on reparte sur de bonnes bases.

    Et on été pressé, il nous fallait gagner le centre ville rapidement. L'embuscade n'allait pas se monter toute seule. Mais le coup de fil reçu par Lutz méritait notre attention. Risbo donnait signe de vie. Il sortait à l'instant de Brolingbrock et il attendait de nos nouvelles. On a donc préparé les retrouvailles dans l'urgence histoire de marquer le coup. Quelques accolades et quelques chargeurs vidés et on était en route pour Paleto. Sa bécane dormait au garage. On l'avait jamais vu chialer jusqu'ici.  C'était beau.
    Mais le VP a su nous ramener sur terre, comme d'habitude. Un job d'envergure nous attendait et il était temps de s'y mettre. On ferait la fête plus tard. Lutz s'est chargé du ride et il a répartit les équipes. Il nous fallait des mecs dispos au barrage pour assurer la fuite et une équipe affutée sur la zone pour taper le convoie au bon moment. Jeriko resté en surveillance a informé l'équipe lorsque le camion s'est mit en mouvement depuis les quais et on a préparé l'embuscade. Du sur mesure. Taper un convoie comme celui là relève de la sécurité national. Ne laisser aucun témoins restait une priorité. Les trois motards de la police en escorte n'ont rien vu venir. En plaçant deux tireurs en surplomb sur les collines on avait paré à tout. Le chauffeur du camion restait une formalité. Le Snake a amené le camion au barrage et les prospects ont chargé le van. On a ensuite regagné le labo par les chemins avec trois ouvreuses pour éclairer la route et s'assurer que tout était clean.

    Lutz jubilait. Il allait pouvoir ressortir sa panoplie de petit chimiste. Et on allait enfin se remplir les poches. Restait plus qu'à trouver des acheteurs...
     
    [Épisode II] Le début du pouvoir
     
    Lutz n'avait pas chômé, il avait travaillé d’arrache pied pour produire de la meth dans le labo tout neuf qu'il venait de retaper avec les gars du club.
    Canta n'avait pas compté ses heures pour mettre un peu de peinture alors que Jeriko avait fait les branchements d'eau.
    La clim fonctionnait nickel et la grosse turbine à la sortie du Labo qui servait aux ouvriers masquait tout les bruits du labo ... une place de rêve.

    Le DRMC était réuni au club de strip. Nous fêtions la nomination de la blonde au poste de Sgt à Arms .... tout un programme tant Risbo s'était mis la tête à l'envers au bar.
    Kiryama trainait avec une brune du nom de Mélissa, elle avait une glotte ....

    Le temps de décuver et il fallait aller au taf. Direction le labo pour récupérer le Rumpo chargé de 2 caisses de Méth.
    Lutz avait dégotté un contact du nom de Wilson qui tenait un petit bar à tapas du coté de Vespucci. Il en donnait 10 000 $, de quoi voir venir et acheter des automatiques .....

    La livraison s'est passée le plus calmement du monde. Pas de flics, pas de Lost .... le paradis sur terre ......

    Nous étions en train de siroter les pisswasser à même le goulot, gracieusement offertes par Wilson, pendant que le prospect débarrassait la marchandise. Wilson était réglo et avait même lâché l'oseille avant d'avoir la marchandise .... amateurisme ou le genre de mec qui sait que personne ne l'entubera jamais ...

    Lutz reçut un appel d'un employé de la scierie, comme convenu il devait prévenir les Darks si les Lost se pointaient pour relever leur racket mensuel ... Ni une, ni deux, le cortège remonta la côte vers Paleto, le prés devant et le rumpo fermant la marche distancé d'un bon mile ...

    Tout s'accéléra, Gary Spinella, le patron, était retenu en otage. Les Losts, arrivés en masse avaient décidé de se faire la paye de tous les employés .... Une aubaine pour eux et pour nous ....
    D'une pierre de coup il suffisait de se débarrasser de ces parasites pour gagner la reconnaissance des employés et par là même, celle de toutes les familles de Paleto.


    Ce fût épique .... une équipe venant des montagnes, une autre venant de la route afin de prendre ces crevures en tenaille.
    Ça grouillait de partout mais le nombre ne comble pas les lacunes au tir ..... ils sont tous morts au combat y compris ceux qui taillaient en van et que notre cher président a poursuivi au péril de sa vie.

    Jeriko avait retrouvé la mallette dans un van prêt à partir. Risbo avait juste eu le temps d'allumer le conducteur.

    Comme dans une bonne série B, Spinella nous attendait prostré dans un coin en attendant de récupérer le fric ce qui ne manqua pas de lui redonner le sourire.

    Le DRMC venait de trouver en lui un allié et en la scierie un endroit de rendez vous discret .... un vrai palais.

    Il était temps de se détendre, nous ne savions pas que la soirée ne faisait que commencer.

    Canta nous faisait visiter son salon de tatouage et fit quelques essais sur Jeriko qui as une fâcheuse tendance à avoir une confiance aveugle ... le patch finalement ressemble à quelque chose .... serait-il aussi doué à l'encre de chine qu'au C4 le p'tit ?

    Kiryama était à l'écart, en ligne avec ce que nous pensions être une nouvelle conquête ... une nageuse de l'est sans doute ... mais non

    Omer, le gérant de la supérette, venait de se faire braquer par 2 clowns ( non pas ceux à qui vous pensez, de vrais clowns !!), ils se tiraient avec la recette de la journée à bord d'un SUV rouge sang ... une couleur prémonitoire sans doute ....
    La horde des Dark Riders étaient à leurs trousses, tellement motivés qu'ils en ont oublié qu'en tirant dans un réservoir ......... ça explose.

    Ben oui, c'était la fin de journée bordel .... on les a vite logés sur la nationale donnant au Sud ... ils ont répliqué .... nous aussi ..... et boom ....

    Ils n'iront plus rien piquer .... ou alors en enfer ...... ils ont emporté dans leur carcasse calcinée la recette d'Omer .......


    En fait ce qui était marrant c'était sa gueule à ce péquenot .... il nous voyait revenir la mine ravie se disant que nous avions sauvé son bien !!!!
    On voulait tarifer une protection ..... Ce sera pour une autre fois ....

    Les Dark Riders ne peuvent malheureusement pas gagner à tous les coups.

         
    [Épisode III] De la blanche plein les fouilles
     
    Le retour du blond ne s’annonçait pas de tout repos. Ce qu'il y a de bien avec cet enfoiré c'est que pour lui, glander n'est pas une option. A peine sortit de taule et il glanait déjà des infos à travers tout LS. Des infos en or: les Lost préparaient une livraison énorme de blanche. Ils avaient prévu de livrer les Ballas en marge du centre-ville en échange de plusieurs caisses d'arme.
    Coup double une nouvelle fois: l'occasion pour nous de récupérer une came qu'on revendrait à prix d'or et de nous équiper avec des fusils autos. En plus on allait pouvoir donner une belle leçon de vie à nos deux gangs ennemis. On a tout préparé la veille. Risbo nous a briefé. Les prospects sont allés récupérer le matos à droite à gauche, on a nettoyé nos armes, passé les balles à la javel et checké les deux vans. Au petit matin, tout était prêt. Sauf Risbo. Évidemment. Encore une fois plongé dans ses éternelles emmerdes sentimentales, il a dû nous lâcher pour retourner en ville. Gruttt la accompagné. On pouvait pas faire mieux. Deux gars en moins c'était déjà trop.

    On s'est rassemblé à la scierie de Paleto où on a troqué nos customs pour les deux vans et on s'est mit en route à travers la montagne. Vingt minutes plus tard on était sur zone. On s'est posé en hauteur et, après avoir zieuté le hangar aux jumelles, on a trouvé plus judicieux de se séparer. Une équipe de front pour la diversion et l'autre en soutient par l'arrière. Lutz leadait l'offensive, à son feu vert, on a engagé. Ardue. Les Losts doublé de Ballas, c'est pas des vacances mais l'effet de surprise a joué en notre faveur et on a essuyé aucune perte même si Aclysme s'est débrouillé pour prendre une balle dans le bras. Dans cette zone reculée et sous l’abri du hangar, il y avait peu de chances que les condés débarquent rapidement. N'empêche, on a fait au plus vite. Jeriko et Canta ont récupéré les vans et on a chargé. Quatre caisses d'AK, dix kilos de C et un peu de cash. Lutz a pansé Aclysme en speed et on est repartit fissa pour Paleto via l'autoroute. Les camions étaient propres, aucune raison de la jouer discrète par les chemins tant qu'on respecterait les limitassions de vitesse. Mais c'était sans compté sur un retour de trique de la part des Losts. A hauteur du centre commercial bordant la quatre voix, de vans remplis de ces connards se sont calés dans nos roues arrières en ouvrant le feu. Kerat a réussit à loger une balle dans la tronche d'un des chauffeurs et le Prés a lâché une rafale dans les pneus de l'autre van. Ils étaient out, inutile de s'attarder. On a tracé.

    Arrivé à la scierie, on a déchargé les armes et on a chargé la coke dans le van  le moins criblé de balles. Cagoules, vestes, gants et flingues ont tous été fourrés dans le camion amoché. Les prospects y mettraient le feu plus tard après l'avoir emmené loin de Paleto. Maintenant il nous fallait livrer la drogue aux Vagos. On a enfourché nos montures et on s'est mit en route. Jeriko restait au volant du van avec Aclysme à ses côtés. Direction le vignoble. Arrivé sur place, on a su rester prudent. Les Vagos forment un gang régule mais redoutable et si on a réussit a arriver là où on en est, c'est en éliminant systématiquement tous les risques. Le Prés a donné ses directives: trois hommes sur la colline pour assurer le deal. Le temps que tout le monde se mette en place, Kiryama a offert une sèche à Aclysme.

    "Comment va l'aile?
    -Ça tire un peu mais ça roule.
    -Vas-y mollo à l'avenir. Ton numéro de cowboy en a imposé à tous mais vos vies valent plus chère qu'un deal réussit.
    -Mais reconnais que c'était fun.
    -J'avoue. Dis à Jeriko qu'on y vas."

    On a mit le convoi en branle pour rejoindre la zone d'échange. Les guetteurs nous ont rassuré, à priori, pas de coups fourré. A priori...
    Trente minutes plus tard, on est en route pour le terrain de crosse de Sandy Shore. Tout roule, les Vagos ont été correcte même si leur Boss n'a pas fait le déplacement. On en discutera la prochaine fois. Là, on est gavé de fraiche et on roule sur Sandy pour récupérer de l'essence pour Omer. Il l'a mauvaise depuis notre interception ratée de la semaine dernière. Monter sur les mecs qui l'avaient braqué et flamber le fric c'est vrai que c'était naze. La citerne devrait nous ramener dans ses p'tits papiers. Une armée de bikers en carton nous attendait sur place. Tous avec les mains à vide sur leurs japonaises ressemblants à des jouets en plastique. Les consignes étaient simples: casser leurs gueules de petites merdes mais sans les amener en soin intensif. Ça a marché comme sur des roulettes. Omer était ravi. Faut dire qu'une citerne remplie d'essence contre une caisse du jour, c'est plutôt un bon plan.
    Nous, on est retourné au garage pour se pinter la face tandis que les prospects s'occupaient du nettoyage. A quoi bon avoir des larbins sinon...
  2. Vote positif
    LeMoutz a/ont reçu une réputation de franck drebbin dans GTA Online : La mise à jour « Motos, boulots, bobos » arrive prochainement   
    Une Radio Spéciale Bikers comme dans le DLC du GTA  IV ça pourrait être top aussi