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Essais voitures In-game !

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Bonjour, voici comme promis un nouvel essai !! :)

Essai

PFISTER COMET

par DeZtRuCtEuRZ1

Commençons par le commencement. La marque Pfister a été créé par Ferdinand Pfister en 1931 qui est aussi à l'origine de la marque BF dont découla les premiers modèles de la marque. Peu de temps après, il y eu la majestueuse Pfister 653, créée par Ferry Pfister, le fils de Ferdinand. Malheureusement introuvable sur notre territoire car non importé sur nos terres. En 1963, la légende née, la Comet. Flat-six à l’arrière et optique rond à l'avant. Mythe qui l'année dernière a fêté ses 50ans. La version américaine de la Comet la plus connue, à savoir la Targa, a été très très apprécié sur les côtes de l'est par des jeunes courtiers et les personnes du troisième âge, ayant marre d'investir dans des aspirateurs. De nos jours la Comet, gardant ses origines de sportive du dimanche essaye temps bien que mal à résister à une concurrence de plus en plus féroce et de plaire au plus grand publique. Mais la Coquette n'est elle pas bien meilleur ? Et la Jester ? Ou la Carbonizzare ?

Essai :

Pour répondre a tous sa, je dois me lever assez tôt, et rejoindre la concession de Legendary Motors pour 7h. A mon arrivé, Damien, mon contact, me remet les clés et je suis parti chercher ma belle. Arrivant derrière la concession, je vit ma Pfister Comet S V8. Une auto juste sublime à mes yeux. Ni sobre ni provoquant.

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Le bouton Start est enclenché, mon siège est réglé et ma cannette de Energy Drink est décapsulé, je suis paré pour 24H de folie. Commençons par le design extérieur. A l'avant, les optiques ronds des premiers modèle on laisser la place a des phares plutôt ovale équipé de 2 LED. Le grand capot, qui fait office de coffre pour la Comet (équipé de bagage Pfister a 1650$ la valise) plonge vers le sol en séparant les deux phares .Equipé de deux autres LED, la calandre, qui s’intègre bien à la face avant fait, à mon gout, un peu vieillot pour le coup. Un très léger par-choc "sport" conclut cette avant. Face avant qui pour moi, ressemble a un tarsier.

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Le profil de cette Comet lui, n'a pas changé. La ligne "hatchback" de ces modèles est toujours aussi sexy. On peut remarquer une grosse prise d'air et une plus légère sur le bas de caisse qui donne un côté sportif à cette auto. Montée sur des jantes noir spécifiques au modèle, ce qui montre encore une fois que la marque veut se démarquer de ses anciens modèles, anciens modèles sans vie qui appartenaient à des propriétaires de fast-food ayant un statut social médiocre.

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AH BAH ENFIN !!!! Je l'attendais encore plus que l'IFruit 6 cet aileron ! Bah c'est magnifique. Il s'intègre parfaitement a l'ergonomie arrière de l'auto. Dommage que les versions californiennes sois obligées de le porter. Les 4 pots chromés redonne un côté sportif. Et on note manifestement que l’arrière ressemble lui, à des hanches de la femme après un accouchement de triplé en sur-poids.

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Le point faible ? Le regard des autres. Conduire une voiture aussi belle qu’exubérante. Et croyez-moi elle ne vous fera pas que des amis. En gros, si vous avez moins de 25 ans, les gens vous prendront pour un fils à papa gâté pourri. Si vous avez entre 25 et 40 ans, ce sera le nouveau riche / kéké / flambeur / bling bling. Et, au-delà de 40, ce sera le vieux qui essaye pathétiquement de rester jeune. Haters gonna hate : le look est à assumer, mais, personnellement, je veux bien prendre ce risque sans aucun souci. Bon je vais faire un tour et on verra comment ça se passe.

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Obligeais de rester dans la ville, je mis cette Pfister a l'épreuve des stop brutales, des demi tour improvisés et des places de parking trop petites. Et bah elle s'en sort bien. Même si un frôlement d'accélérateur vous fera partir dans un arrêt de bus, elle se révèle plutôt pratique en ville. Même si pour aller faire les courses au supermarché il faudra enlever les quelques valises en cuir de vachette d’Italie, pour laisser place aux sacs plastiques Cluckin' Bell transportant des sauts de poulet et de ketchup. Et tient en parlant de demi tour je précise quelle a un très bon rayon de braquage.

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Un petit tour dans les collines me fais déduire quelque chose. Certains disent qu'il en faut en avoir dans le pantalon pour dompter la bête mais non, moi j'en déduis qu'il faut en avoir dans les bras. Car oui la direction assistée est encore en option chez Pfister. Et je ne l'ai pas prise sur la mienne... Et hop ! C'est la crampe ! Mais rassurez vous, il n'y a qu'un malade comme moi pour faire du 140 dans Tongva Valley, donc pour vous, le mal de bras, c'est pas pour tout de suite.

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En arrivant sur Sandy Shores une petite pluie commence à tomber (mais vraiment tout fin, un petit crachat de rien du tout), ce qui va avoir une conséquence dramatique sur le comportement de la bête : la moindre accélération transformera la Comet en boule de bowling, glissant interminablement sur la chaussée, avec un petit morceau de chair à l’intérieur, cramponné au volant, tentant de maîtriser plus ou moins la furie. Un vrai calvaire. La leçon rentre donc très vite : 1) on ne touche pas au bouton de l’ESP. 2) les ré-accélérations se font très très très très progressivement, sous peine d’avoir le train arrière se dérober immédiatement. Je comprend mieux pourquoi nos chers amis japonnais aime cette voiture.

Son comportement sur terre n'est pas meilleur que sur route. Surtout dans les virages. A moins d’être septuple champion du monde des rallyes, il vous sera très difficile de la garder droite dans les virages.

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Mais l’autoroute se profile déjà. On inspire profondément et on enfonce la pédale d’accélérateur. La réponse est immédiate : je me retrouve au fond de mon siège, l’aiguille des vitesses galope, à l’instar de celle du compte-tour. La poussée est jouissive au possible (et ça y va fort jusqu’au rupteur !), mon pouls s’accélère, mes pupilles se dilatent, ça y est, je suis drogué.

Des frissons plein la tête, je retourne garer mon beau carrosse au garage et je vais me coucher… Pour me réveiller le lendemain avec un soleil éclatant. Ni une, ni deux, c’est parti pour les dernières petites routes avant la concession. Mais je me dis qu'il y a encore quelque chose à tirer de cette Comet. La réponse ? Bien-sur ! Alors oui, la voiture reste assez piégeuse, et la ré-accélération en sortie de virage doit se faire avec prudence. Mais, au fil des kilomètres, je commence à « lire » la voiture, la décrypter, la comprendre. Le plaisir devient alors double. D’un côté, le plaisir de pouvoir enfin rouler à des vitesses complètement extravagantes en gardant le contrôle. A ce jeu-là, la Comet est parfaite : elle avale les grandes courbes avec une efficacité sidérante, et j'arrive presque à la scotcher à la chaussée. J'ai dis presque..

Mais il est temps de rendre cet voiture qui ma fait passer 24h de pur folie, comme je me suis dis au début de l'essai. Et c'est sur un air mélancolique que je laisse ma Comet d'un jour au garage.

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Mais, Damien, connaissant ma passion pour les bolides d’exceptions, me montra ceci. Et me proposa de faire un tour avec.

Vous ne pensez tout de même pas que j’allais dire non ? Pas à une Comet GT3 !

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Une tuerie. A suivre...........

Conclusion :

La Comet, à part son train arrière qui ne cesse de vouloir s'enfuir, son look qui ne fais pas forcement rêvé et le danger qu'elle provoque sous la pluie , la Comet reste tous de même une super bonne sportive aux capacités insoupçonnés, sous ses airs de voiture de psychologue. Alors oui je vais peut être m'acharner sur son sur-virage mais il est important de le dire. Mais sinon sa reste une superbe voiture. Avec une histoire qui peux en faire parler plus d'un. Je vous la conseille.

+ -

Motorisation Comportement routier

Utilisation urbaine Look

Prix Utilisation sous la pluie

Accélération

Rayon de braquage

Esthétique : 2.5/5

Maniabilité : 3.5/5

Comportement route sèche : 3/5

Comportement route mouillé : 2.5/5

 

Note : 11.5/20 : Une très bonne sportive malgré son comportement !

Données constructeur : (Merci à Donki le gris pour m'avoir autoriser à utiliser les données de ses tableaux dont voici le lien https://www.gtanf.com...showtopic=19302 )

Fabricant : Pfister

Modèle : Comet

Mécanique : 6 cylindres à plat de 360ch

Catégorie : Sportive

Transmission : Propulsion

Nbr de places : 2

Prix d'achat : 100 000$

Stats de base / Stats modifiées Bleu => Stats utilisées pour l'essai

Vitesse max : 81.56 / 81.56

Accélération : 85.0 / 130.0

Freinage : 26.67 / 31.67

Maniabilité : 68.01 / 78.79

Crash test : Très bon

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Données Social Club :

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Test agilité : 75mph sur route sèche et 70mph sur route mouillée

Test freinage : 5/5 route sèche et 4/5 route mouillée

Temps sur circuit réalisé par le Stig : 0 ' 48 , 581

Temps au 1000m d/a réalisé par le Stig : 0 ' 25 , 625

Vidéos réalisées pour les chronos :

Véhicule réel inspiré pour le modèle : Porsche 911 type 996 GT3

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Bonus différentes versions de la Comet en tenue de GT3 RS :)

 

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FIN

Voilà pour cet essai ! J'espère qu'il vous aura plu depuis le temps que vous en attendez un :p

 

 

Un nouvel essai! :ohmy:

 

Très content de voir que les tests reprènnent! :)

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J'ai dû passer au moins 2h à relire le topic... j'aime beaucoup le concept :) c'est bien parce que vous vous limitez pas aux supercars que tout le monde utilise, y'en a pour tous les goûts (par contre j'ai pas digéré comment on a tapé sur le design de l'Elegy :ph34r: elle est géniale cette caisse )

 

Plein d'autres modèles méritent de passer au crible, alors... j'espère qu'il y aura d'autres tests, abandonnez pas !

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J'avais rédigé celui de la Surge et j'avais vraiment adoré le faire , mais là j'ai le bac dans très peu de temps, j'en ferais peut-être un ou deux ensuite

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Bonjour, après de longs mois sans essais le topic reprend pour vous faire découvrir de nouveaux essais !! :)

 

J'ai dû passer au moins 2h à relire le topic... j'aime beaucoup le concept :) c'est bien parce que vous vous limitez pas aux supercars que tout le monde utilise, y'en a pour tous les goûts (par contre j'ai pas digéré comment on a tapé sur le design de l'Elegy :ph34r: elle est géniale cette caisse )

 

Plein d'autres modèles méritent de passer au crible, alors... j'espère qu'il y aura d'autres tests, abandonnez pas !

Merci !! Après y avait déjà eu un débat pour le design de la Eleghy ;)

 

 

ESSAI

ALBANY VIRGO

par fande2cv

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L’essai qui va suivre n’est pas l’essai d’une simple voiture, mais l’essai d’une icône de l’automobile américaine : l’Albany Virgo. Cette voiture fait partie d’une catégorie qui a presque totalement disparue de nos jours, la catégorie des grands coupés ultra luxueux. Véhicule symbolisant la puissance et l’hégémonie des Etats-Unis à la sortie de la guerre, elle restera commercialisée pendant 50 ans à travers 10 générations. Ici, nous avons à faire à la sixième génération qui marque un tournant dans l’histoire du modèle. Nous sommes à la fin des années 1960, à l’aube du premier choc pétrolier qui aura des répercussions sur le monde automobile mais laissons l’austérité de côté et embarquons dans une voiture hors norme pour un voyage hors du temps.

 

Essai :

 

Pour essayer une de ces « bêtes » il fallait se poser une simple question : Qui de nos jours peut-il encore conduire ce gouffre à essence ?? On peut penser aux personnes qui ont vécu la gloire de l’industrie automobile américaine, aux fervents partisans du acheté « made in USA », aux personnes inconscientes qui veulent se ruiner au passage à la pompe ou encore à un simple collectionneur. Mes recherches m’ont ainsi amené à trouver un ancien général ayant servi pendant la guerre du Vietnam et qui profite de sa retraite à Mirror Park. Quoi de mieux qu’un patriote pur et dur pour l’essai d’une voiture tout aussi patriotique ?? Je prends contact et le rendez-vous est pris pour jeudi matin vers 6h.

C’est le jour-J, il est 4h et mon corps se réveille avec la chanson Like a Rolling Stone de Bob Dylan histoire de se plonger dans l’ambiance qui m’attend tout le long de ma journée. Comme prévu j’arrive vers 6h du matin, le soleil se lève et je me retrouve posté devant une maisonnette typiquement américaine ainsi que la Virgo qui m’attend bien sagement dans l’allée. Je retrouve son propriétaire derrière la maison qui me confit les clefs de sa précieuse voiture.

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Ça y est, l’heure est venue pour moi de monter dans cette fameuse Albany. J’ouvre la lourde et imposante porte, qui me sépare de l’extérieur au cocon luxueux, pour pouvoir réveiller le V8 7.7 litres de 375ch. Première étape de mon road trip, South Los Santos pour essayer ses aptitudes dans la jungle urbaine.

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Le bilan ne s’avère pas trop négatif par rapport à ce que je m’attendais. Les roues arrières transmettent assez bien la puissance du V8 sans trop patiner, le mauvais état des routes ne se ressent presque pas grâce notamment à la suspension à barres de torsions et bras triangulés ainsi qu’au confort des assises. Effectivement, l’amortissement absorbe bien, les nombreux nids de poules présents sur les routes. Pour ce qui est de la conduite on peut citer un élément, la direction assistée, qui peut être positive car elle permet une conduite souple mais peut aussi être un élément négatif car cette direction « trop » assistée rend la direction imprécise et n’empêche pas un rayon de braquage similaire à celui d’un camion. Outre cet aspect négatif la voiture se révèle être agréable à conduire, les freins à disque permettent d’arrêter convenablement la bête de plus de deux tonnes et le V8 dégage une sonorité roque digne d’une sportive avec des échappements qui laisserons un crépitement lors des passages de vitesses.

Sur mon trajet j’ai sauté sur l’opportunité de croiser un garage désaffecté pour faire le point sur le design. Commençons par l’avant qui est caractérisé par une fine calandre englobant les 4 feux ronds, un pare-chocs full chrome remontant sur les flancs (en option à l’époque) et d’un magnifique capot ou se rejoint les deux lignes de la ceinture de caisse pour former un bosselage où orne le logo Albany.

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Le profil arbore l’esprit 1970 avec des lignes tendus et formes géométriques. C’est une voiture qui en impose avec une ceinture de caisse qui marque un décalage au niveau de la custode arrière afin de souligner les ailes arrières, des passages de roue marqués et le tout monté sur des jantes à rayon de 20 pouces.

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De plus, l’empattement long et les porte-à-faux démesurés accentuent le caractère imposant de la voiture, la voiture fait la taille de deux Panto !!!

 

 

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A l’arrière on retrouve le même style qu’à l’avant avec un pare-chocs chromé, les ailes marquées et les feux entourés par un liseré chromé. Le style global fait imposant mais les bonnes proportions en font un véhicule équilibré.

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Après cette halte design, j’ai repris le court de mon trajet pour aller faire une pause carburant et déjeuner. Et oui il est déjà 13h et la Virgo arrive sur la réserve, il faut dire qu’avec une utilisation exclusivement en ville on approche les 20 l / 100.

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A l’issu de cette pose j’ai voulu tester la Virgo sur voie rapide, j’ai donc emprunté La Puerta Fwy en direction de Palomino Highland. Sur ce type de route la voiture s’est trouvée dans son élément.

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En effet, le confort d’usage permet de voyager comme sur un tapis roulant et le gabarit pose moins de problème qu’en ville. La direction est assez précise pour les bifurcations mais sur les premières vitesses le moteur accuse un manque de relance et il faut attendre la 3ème / 4ème vitesse pour voir la voiture filer à tout allure. C’est donc avec un bilan positif que je sors de l’autoroute pour m’attaquer aux routes sinueuses. Sur cette portion la voiture a révélé tous ces défauts.

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Elle se montre indécise, dès que les virages commences à avoir une courbure trop élevée la voiture accuse un trop important sous-virage qui ne permet pas d’enchaîner les virages de manière dynamique. Vous allez me dire que ce n’est pas l’objectif de la voiture et vous avez raison mais il suffit d’augmenter la cadence et le châssis ne suit plus, l’Albany chasse de l’arrière à la moindre imperfection sur la route. De plus, cette route est vallonnée et la boîte automatique a du mal à choisir le bon rapport et on se retrouve souvent avec le moteur qui gueule. Heureusement, le bruit bestial du V8 me permis de me consoler et nul n’a besoin de l’autoradio, en série, pour se distraire car la symphonie provient de la salle des machines. La torture était finie et je me dirigeais vers la plage pour assister au coucher de soleil.

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Pour accéder à la plage j’ai dû emprunter une petite route mêlant asphalte et terre. Sur cette route les suspensions permettaient une bonne tenue de route mais le train arrière chassait très facilement. Enfin, la nuit était en train de tomber et le ciel devenait menaçant il était tant pour moi de rendre la Virgo à son propriétaire. J’ai ainsi fait le trajet retour sous la pluie. Avec ces conditions la voiture était plus entrain à chasser à chaque coup de volant, le freinage restait assez efficace et la perte d’adhérence au démarrage était minime par rapport aux conditions optimales.

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Il était 21h et c’était l’heure pour moi de rentrer pour rédiger l’article.

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Conclusion :

 

Pour conclure, à l’heure où le plastique commence à toucher le monde automobile à l’instar de la Kalahari et sa carrosserie en plastique Albany nous signe une voiture optant pour un style bien américain, comprenez par là un style massif avec profusion de chromes. C’est une voiture de la démesure, le poids, la consommation, les dimensions sont de telle sorte que la voiture s’apparente plus à une péniche qu’à une ballerine. Mais cette voiture sait faire plaisir à son propriétaire avec un V8 hurlant et un habitacle accueillant, confortable et luxueux. Même si elle n’est pas exemptée de défauts, comme sa direction qui avec le poids de l’engin peut donner des situations dangereuses, elle reste une voiture différente de ce qu’on peut conduire aujourd’hui mais pour cela il faudra débourser pas moins de 195 000$ pour espérer accéder à la sphère des coupés ultra luxueux.

 

 

+ -

Sonorité Châssis

Confort Gabarit

Look Direction

Freinage Poids

Sous virage

Esthétique : 4/5
Maniabilité : 3/5
Comportement route sèche : 3/5
Comportement route mouillé : 2.5/5

Note : 12,5/20 : A vous de l'essayer pour savoir si vous tombez sous son "charme" !

Données constructeur : (Merci à Donki le gris pour m'avoir autoriser à utiliser les données de ses tableaux dont voici le lien https://www.gtanf.com...showtopic=19302 )

Fabricant : Albany

Modèle : Virgo

Mécanique : V8 7.7L de 375ch

Catégorie : Grosse cylindrée

Transmission : Propulsion

Nbr de places : 2

Prix d'achat : 195 000$

Stats de base / Stats modifiées Bleu => Stats utilisées pour l'essai

Vitesse max : 75,12 / 75,12

Accélération : 70,0 / 115,0

Freinage : 26,67 / 31,67

Maniabilité : 62,34 / 74,84

Crash test : Très bon

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Données Social Club :

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Temps sur circuit : 2' 40 , 362

Circuit similaire à la course au fil de l'eau

Véhicule réel inspiré pour le modèle : Cadillac Eldorado 6 / Lincoln Continental mark III

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FIN

Essai réalisé sur Xbox One

Voilà pour cet essai j'espère qu'il vous plaira :)

Modifié par fande2cv

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